12/25/2010
12/17/2010
12/15/2010
DIRK VERHAEGEN 1987 GALERIE GILLES GHEERBRANT MONTREAL
dirk verhaegen (avril 1987)
l'utilisation dans mon travail depuis vingt ans de progressions angulaires, de coupures, de rabattements, de rotations, l'invention de polygones régulièrement irréguliers, l'application du principe gravitationnel et les configurations qui en résultent sont autant d'attaques, de perturbations irrévérentes d'une structure en général orthogonale au départ.
de plus je me suis mis à questionner toujours davantage la délimitation de l'image en faisant réagir la découpe de l'oeuvre avec la surface même du mur ou en créant des pièces constituées d'éléments détachés qui font encore se pénétrer davantage le travail et le mur.
dans mes oeuvres récentes je pars d'un carré qui donne naissance à un nouveau carré et ainsi de suite, selon un système continu de développement. chaque nouveau carré est déterminé par un vecteur angulaire tracé sur un des sommets du carré de la génération précédente. la séquence des angles répond à une logique de progression à différents niveaux de complexité.
sur le fond du mur se détache une forme qui porte un dessin, clé du processus par lequel celle-ci est née. le support et le dessin ne font qu'un. j'ai retourné et découpé de la toile de lin préparée dont la couleur est assez foncée pour faire plan sur le mur et suffisamment claire pour porter le dessin en noir. c'est neutre, c'est direct, c'est plan.
alors que j'ai tendance à malmener quelque peu les canons de l'art concret classique qui, en général, respecte le dogme de l'horizontal-vertical pur, j'ai trouvé plaisant de constater que dans mon travail actuel se trouvent satisfaits les principes que lohse a si bien énoncés, de la congruence de la méthode et de la structure et de parallélisme des moyens plastiques et de la délimitation de l'image, principes qui sont vraiment fondamentaux et universels, tout aussi valables dans un espace libre comme celui que je crée que dans l'espace orthogonal de l'artiste suisse.
dirk verhaegen, avril 1987
12/14/2010
12/11/2010
12/07/2010
12/05/2010
FASCINATION POUR LES PÔLES
'Chaque fois que le printemps revient, je me demande en quel lointain s'en ira la blancheur après que la neige aura fondu. En quelles solitudes, dans quel envers des choses ira-t-elle se réfugier? Et le blanc des pôles, où ira-t-il se cacher le jour où les glaces de l'Arctique auront disparu? Ce blanc nous manquera, comme nous manquerons le vide et l'absence de ce "point zéro" du monde. Ces espaces hyperboréeens détiennent des stocks de denrées plus précieuses que l'or et l'antimoine, des ingrédients essentiels aux êtres humains et aux sociétés: de la blancheur, du néant, du silence, de l'infini et de l'inconnu.'
Gilles Lapouge, Fascination pour les pôles, Le Monde Diplomatique, decembre 2010
Gilles Lapouge, La Légende de la géographie, Albin Michel, Paris, 2009
Gilles Lapouge, Fascination pour les pôles, Le Monde Diplomatique, decembre 2010
Gilles Lapouge, La Légende de la géographie, Albin Michel, Paris, 2009
12/04/2010
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